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Le panier du curé

Pour les soutenir,
et pour leur dire merci !

Cuisinez pour vos prêtres

Rencontrez votre curé

Si le "Panier du Curé" n'existe pas encore dans votre paroisse, demandez à votre curé si cuisiner pour lui/ses prêtres leur rendrait service ou leur ferait plaisir?.

Contactez nous

Nous enregistrons votre intention de créer ce service paroissial et nous vous aidons à le mettre en place (début, jour choisi, type de panier ou de menu, modalités à votre choix . . . )

Cuisinez

Cuisinez pour vos prêtres un bon menu simple (ou seulement le plat principal, ) que vous leur apporterez le jour convenu au presbytère

Tout savoir sur le Panier du Curé

Le Panier du Curé est la reprise d’une ancienne tradition : les paroissiens offraient au prêtre de leur village des fruits de leur jardin et des produits de leur ferme. 

De nos jours, en ville, cette initiative propose de cuisiner pour le ou les prêtres de la paroisse une fois par semaine pour commencer ( = 1 fois par an pour chaque famille ). Tant mieux si vous pouvez leur cuisiner un bon petit plat mais le plus souvent c’est un menu simple ou même seulement le plat principal qui est apporté, au presbytère le jour fixé.
Variante s’il y a un seul prêtre et s’il a choisi un jour de week-end : il peut être  invité à la table familiale pour partager le repas et vivre un temps convivial !

Le Panier du Curé dans le diocèse

Dans notre diocèse de Nanterre, les Cordées du Panier, le nouveau nom du Panier, ont été créées dans une vingtaine de nos paroisses (et bien plus en France!)
Découvrez si la vôtre en fait partie pour rejoindre la cordée  des cuisinier(e)s du Panier !

Pourquoi le Panier du Curé ?

S’engager pour le Panier, c’est manifester votre gratitude à votre curé de façon très simple.

Certains de nos prêtres sont loin de leur famille : cuisiner pour eux ou les inviter à partager votre repas du dimanche, c’est leur apporter de la joie, les soutenir dans leur mission, et vivre un temps fraternel et convivial.

Un (à deux) repas par an, pour vous, c’est peu… mais pour eux, c’est beaucoup !